Écrits divers
ÉCRITURE DE COMMANDE. ANALYSE PICTURALE POÉTIQUE : "Le nouveau flamant rose"
LE NOUVEAU FLAMANT ROSE
Le flamant rose tend à disparaitre. Tout le monde le lui a dit. Ainsi pour survivre, il se réinvente. Il ne plonge plus son long cou dans l’eau en quête d’une crevette.
ÉCRITURE DE COMMANDE. ANALYSE PICTURALE POÉTIQUE : "L'intrus"
L'INTRUS
Peu de gens le savent : dans la jungle, chacun est observé. Le bruissement des feuilles est constant, signe de corps ne trouvant jamais le repos. Les oreilles entendent tout. Les yeux restent ouverts.
ÉCRITURE DE COMMANDE. ANALYSE PICTURALE POÉTIQUE : "Pluie de flore"
PLUIE DE FLORE
Une pluie de flore s’abat sur le monde. Déjouant les lois de la gravité, les robustes plantes et fleurs ne tombent pas sur le sol la tête la première.
ÉCRITURE DE COMMANDE. ANALYSE PICTURALE POÉTIQUE : "Devant Hawaï"
DEVANT HAWAI
Devant Hawaï, le perroquet perd son bec. Jadis à pérorer dans l’espoir d’attention, le voilà désormais à admirer une autre que lui-même, une demoiselle Ile.
ÉCRITURE DE COMMANDE. ANALYSE PICTURALE POÉTIQUE : "Geyser fruitier"
GEYSER FRUITIER
L’ananas est un geyser. Certes, il n’est pas éruptif. Ses feuilles ne voltigent pas à la manière d’un bouchon de champagne libéré. Mais c’est un geyser tout de même : un geyser fruitier.
CRITIQUE DU FILM “MAKE ME UP” : "POUPÉES FÉMINISTES ET AMOUR DE SOI"
Jeudi 14 mai 2020, j’ai été membre du jury du festival international de films de femmes. Il devait se tenir en Turquie, mais à cause des raisons sanitaires actuelles, il a eu lieu en ligne. Voici en quelques mots, ma critique du film que nous avons primé.
JOURNAL DE CONFINEMENT : "Etat(s) d'âme - Etat(s) du monde"
J'aimerais m'abandonner à ce qui est là : une amitié, une envie d'aimer, un confinement.
J'aimerais m'abandonner à ce qui pourrait être là : de l'amour, de la sérénité, des projets.
JOURNAL DE CONFINEMENT : "L'hypothèse d'un miracle"
Il y a deux nuits de cela, un miracle s’est produit dans mon existence.
JOURNAL DE CONFINEMENT : "19h58"
Chaque jour, c’est à 19h58 que je m’éveille.
Depuis l’aube jusqu’à l’heure du dîner, un étrange songe m’enveloppe.